Je m'appelle Dr Aisha Mohammad et j'ai obtenu mon doctorat en chiropratique et ma certification en acupuncture du CMCC en 2010. J'ai encore renforcé mes compétences en matière de tissus mous en obtenant mon diplôme en massothérapie enregistrée en 2012. Tout au long de mes 13 années de pratique, j'ai non seulement travaillé en pratique privée, mais j'ai également suivi une formation pour obtenir ma certification en conduction FAE par le biais de Work Well en plus de effectuer des évaluations par l’intermédiaire du centre d’évaluation de la CSPAAT et de la clinique d’accès rapide pour les lombalgies. Dans l’ensemble, mon large éventail de compétences m’a permis d’atteindre une satisfaction optimale des patients, mais cela m’a également permis de travailler dans différents contextes pour aider les patients à retrouver leur état d’avant la blessure. Je n’ai jamais considéré ma carrière de chiropracteur comme un simple « travail », je l’observe souvent comme une danse ; agréable, fluide et énergisant. Aider les patients à atteindre leurs objectifs n'est pas seulement un élément de la liste, cela a souvent un effet d'entraînement dans différents aspects de leur vie – qu'il s'agisse de jouer avec leurs petits-enfants sur le sol ou de pouvoir danser au mariage de leur enfant.

De plus, lorsque je ne suis pas occupé par la pratique, j'aime ralentir et me plonger dans ma passion pour la lecture et surtout l'écriture. J'ai accompli l'écriture de 2 livres auto-publiés intitulés : The Feel Good Mom Book : Short Stories For Moms & The Hyper Diaper : Adventures from A to Z.

Mes compétences se sont développées et renforcées au fur et à mesure que j'ai obtenu mon diplôme RMT, ma certification FAE et que je me suis engagé dans la réalisation d'évaluations et la rédaction de rapports par l'intermédiaire du Centre d'évaluation spécialisé de la CSPAAT et du LBRAC. Au cours de 13 années, mes connaissances se sont approfondies sur les problèmes liés aux MS auxquels le public est confronté quotidiennement. Mon expérience, non seulement en pratique privée, mais également à travers diverses autres formations et modèles de soins, m'a créé une perspective élargie qui me permet d'éduquer et de communiquer avec mes patients et mes collègues avec des informations et des idées à jour qui m'aident à éliminer les obstacles et les défis.

L'objectif qui m'a le plus marqué dans le plan stratégique actuel du CAC est « Renforcer nos partenariats ». Cet objectif est important pour moi, car je travaille aux côtés de nombreux professionnels de la santé différents ayant des points de vue variés sur le type de professionnels de la santé qu'ils reconnaissent comme bénéfique pour les besoins de leurs patients. Une approche collaborative des soins est essentielle car il peut exister des idées préconçues sur les soins chiropratiques qui agissent comme des obstacles pour de nombreux professionnels de la santé et minimisent de manière organique le flux de soins aux patients. Si nous pouvions favoriser plus tôt ces relations au sein de différents organismes de réglementation, les générations à venir pourraient alors bénéficier d’une communication facilitée et, bien sûr, les soins futurs de nos patients en seraient positivement impactés.

En tant que voix des chiropraticiens au Canada et parmi la diversité que représente le Canada, je crois que le rôle d'une association nationale dans la promotion de ces principes est essentiel pour atteindre tous les patients potentiels et ce à quoi ils s'identifient. Au Canada, nous voyons la diversité partout et c'est quelque chose que nous devons adopter, qu'il s'agisse de brochures éducatives dans différentes langues pour s'adapter à différentes cultures ou de mettre en valeur les chiropraticiens bilingues pour un accès facile aux patients aux prises avec la langue anglaise.

Le CCA parle au nom de tous les chiropraticiens du Canada, et nous appartenons tous à un courant de diversité différent qui va dans la même direction ; positivité et appartenance à la même association.

J'ai obtenu mon diplôme de l'Université nationale des sciences de la santé en août 2003. J'exerce actuellement une pratique multidisciplinaire à Brantford, en Ontario. Durant mes études de premier cycle, j'ai joué au football pour les Gryphons de l'Université de Guelph et j'étais en troisième année lorsque j'ai été exposé à la chiropratique. J'ai eu une expérience très positive, c'est donc après mon expérience que j'ai décidé de devenir chiropracteur afin de pouvoir aider les gens comme mon chiropracteur m'avait aidé lors de ma première visite.

Je pense que mon histoire d’athlète contribuerait à apporter une perspective différente sur la façon dont la chiropratique/les chiropraticiens peuvent aider à soigner les blessures musculo-squelettiques qui peuvent être soulagées par des soins chiropratiques. Mon expérience dans le traitement d'une variété de patients souffrant de diverses blessures aiderait à montrer au public que les chiropraticiens peuvent aider avec beaucoup plus de maladies et pas seulement les douleurs au cou et au bas du dos. C'est alors que j'étais en 4e année à l'Université de Guelph qu'une blessure que j'avais subie lors d'un match de football m'a conduit à consulter un chiropracteur et honnêtement, ce fut certainement une bénédiction. Je pense que la chiropratique et les chiropraticiens seraient en mesure d'aider de nombreuses personnes, pas seulement les athlètes, sur le chemin du rétablissement, comme ce que j'avais vécu lors de ma première expérience en chiropratique.

Il y avait un objectif qui m'a le plus marqué : améliorer la compréhension du public sur la chiropratique, influencer l'amélioration de l'accès des patients aux soins, éclairer les politiques publiques et faire progresser la profession en tant que profession fondée sur des données probantes, centrée sur les personnes, interprofessionnelle et collaborative. Je pense que cela donne la priorité aux patients dans tous les aspects de leur cheminement vers une meilleure santé.

Je crois que le rôle d'une association nationale est d'élaborer et de promouvoir des politiques et des procédures de lignes directrices de pratique que les membres doivent suivre. Assurer une formation sur la diversité et des mises à jour continues sur le climat/les affaires actuelles est très important et utile. Surveiller le respect des membres par rapport aux directives et aux politiques/procédures du conseil d’administration.

J'ai obtenu mon diplôme du CMCC en 1987 et j'en suis maintenant à ma 37e année de pratique privée à Hamilton. Au début de ma carrière, je me suis engagé auprès de la Hamilton Chiropractic Society, pour finalement assumer le rôle de vice-président. De la fin des années 90 jusqu'en 2003, j'ai travaillé comme clinicien à la clinique Herb Lee du CMCC, travaillant avec des stagiaires qui allaient devenir de futurs chiropraticiens.

Pendant cette période, j'ai également assumé le rôle de coordonnateur du corps professoral clinique, supervisant les cliniciens sur place. Depuis 2005, je suis bénévole auprès du Conseil canadien des examens chiropratiques, en tant qu'examinateur pour l'examen des compétences cliniques. J'ai conservé ce rôle jusqu'à présent. Au cours de la dernière décennie, j'ai été activement impliqué auprès de l'Association chiropratique de l'Ontario, terminant récemment mon mandat à titre de président du conseil d'administration. Dans le passé, j'ai été trésorier et membre du conseil d'administration. De plus, j'ai suivi des cours de gouvernance ces dernières années.

Le plan stratégique de la CCA comporte quatre objectifs distincts : changer le discours, soutenir nos membres ; Renforcez notre partenariat et responsabilisez notre équipe. Après avoir examiné les objectifs stratégiques du CCA, je crois que mon mandat de dix ans en tant qu'administrateur du conseil d'administration de l'OCA et ma participation à plusieurs cours de formation en gouvernance m'ont doté des compétences nécessaires pour apporter une contribution significative au conseil d'administration du CCA. J'ai collaboré avec le PDG lors de discussions préliminaires concernant les plans stratégiques et participé à des séances de planification stratégique. La participation active à divers comités de l'OCA, en tant que présidente du comité des finances et de la vérification, trésorière et présidente du conseil d'administration de l'OCA, m'a apporté des idées et des connaissances précieuses, mais a également amélioré mes compétences en leadership. La fusion de ma formation en gouvernance, de mon mandat d’administrateur d’une décennie et de mes divers rôles de leadership me confère un solide ensemble de compétences pour contribuer efficacement au conseil d’administration du CCA au mieux de mes capacités.

Renforcer nos partenariats était l’objectif qui ressortait le plus. C'est important pour moi, car je pense qu'entretenir des relations avec les associations provinciales, l'ACCP, les intervenants de la chiropratique et d'autres professions de la santé ne fait que renforcer notre profession, ce qui profite à chaque membre à travers le Canada.

Le CCA travaillant en collaboration avec les parties prenantes permet à la profession d'avancer, de manière synergique. Lorsque nous travaillons tous ensemble pour faire progresser notre profession, cela renforce le respect de la chiropratique au sein du système de santé canadien. Le CCA travaille en collaboration et fournit les informations de diverses associations et autres parties prenantes pour une plus grande clarté de différents points de vue.

Le renforcement des partenariats et le travail en collaboration permettent une utilisation plus efficace du temps, des ressources financières et un terrain d'entente, qui sont utilisés pour faire progresser la profession et l'intégrer davantage dans le système de santé du Canada. J’en ai fait l’expérience directe au cours de mon mandat au conseil d’administration de l’OCA, travaillant en collaboration avec le CCA, renforçant ainsi notre relation entre l’OCA et le CCA.

Le rôle d'une association nationale dans la promotion de la diversité, de l'équité et de l'inclusion (DEI) implique la création et la mise en œuvre de politiques, d'initiatives et de programmes éducatifs qui favorisent un environnement plus inclusif. Cela implique de plaider en faveur de la diversité au sein du leadership, de lutter contre les inégalités systémiques et de promouvoir l’égalité des chances pour tous les membres de l’association.

Je suis diplômé de la CMCC en 2009. Je pratique actuellement à Toronto avec un intérêt particulier pour les soins pré et postnatals. J'ai participé à des travaux de sensibilisation internationaux en Ouganda et je souhaite faire une plus grande différence plus près de chez moi. Je siège actuellement au comité des prix de l'OCA, mais je cherche à jouer un rôle plus important dans notre profession.

En plus de ma pratique familiale, j'ai également eu le privilège de travailler avec la Clinique d'accès rapide – Lombalgie (anciennement ISAEC) depuis 5 ans. Cela m'a donné l'occasion de travailler plus étroitement avec les médecins de soins primaires et le système hospitalier et de constater à quel point des soins véritablement intégrés peuvent être bénéfiques pour nos patients. Je serais heureux d’avoir l’occasion de faire partie du CAC et de contribuer à façonner l’avenir de notre profession.

Mon expérience avec le RAC-LBP me permet d'apporter des connaissances uniques liées au travail avec des programmes au sein des hôpitaux et dans le cadre des programmes de santé provinciaux. Mon temps de bénévolat à l'étranger m'a permis de travailler directement avec des médecins, des dentistes, des infirmières et des étudiants et m'a donné un aperçu de la façon d'établir ces relations ainsi que de la façon d'enseigner à la nouvelle génération. De plus, j'écris pour Research Review Service depuis 2011, ce qui me tient au courant des recherches en cours.

Changer la conversation – Je crois que l'avenir de la chiropratique réside dans le changement de la perception du public sur ce que font et sont les chiropraticiens. Rendre les soins chiropratiques accessibles aux personnes qui ne bénéficient pas de prestations de soins de santé complémentaires, qui sont nouvelles au Canada et qui ne vivent pas dans des centres urbains est primordial pour changer la façon dont nous sommes perçus et quel impact nous pouvons avoir sur la santé au Canada. . Pour y parvenir, nous devons nous ancrer davantage dans le système de santé aux niveaux fédéral et provincial. Nous ne pouvons pas espérer pouvoir prodiguer des soins aux groupes marginalisés si nos soins sont uniquement disponibles dans des cliniques privées, dont les coûts sont souvent prohibitifs. Cependant, la seule façon de prodiguer des soins sans en payer le prix est de s’intégrer aux équipes de bien-être familial, aux cliniques communautaires et aux hôpitaux. Il s’agit d’un objectif noble, mais qui mérite d’être poursuivi à l’avenir.

Je crois que cela doit être géré au niveau national. J'ai fait l'expérience de la vie et de la pratique dans une ville très diversifiée ainsi que de la vie et de l'expérience du patient dans une petite ville rurale d'une province très homogène et elles sont très différentes. Laisser le travail nécessaire sur la DEI aux provinces ne tient pas compte de la situation dans son ensemble. Il est difficile de voir l’importance du DEI lorsque vous vivez et travaillez dans une région où la diversité est limitée. Le Canada doit avancer comme une seule nation. Par conséquent, nous devons avoir des discussions pour aller de l’avant d’une manière qui célèbre la DEI au niveau national.

– candidat à la réélection pour un nouveau mandat de 3 ans au conseil d’administration du CCA

– 41 ans d’expérience en pratique clinique

– 8 ans au conseil d’administration de la Manitoba Chiropractors Association en tant que registraire

– 27 ans au conseil d’administration du CFSR/CCRF dont 3 ans en tant que président

– 8 ans au conseil d’administration du CFCREAB et représentant MB au conseil d’administration du CCEB

– 12 ans d’expérience au sein du corps professoral du CMCC

J'ai siégé à de nombreux conseils d'administration au sein et à l'extérieur de la profession au cours des 40 dernières années. Au cours de mon premier mandat au conseil d’administration du CCA, j’ai participé à plusieurs ateliers et séances de formation pour améliorer davantage mes compétences en tant que membre contributeur du conseil. Je suis « au courant » des initiatives passées et actuelles du Conseil et j'ai fait partie de plusieurs situations très difficiles auxquelles le Conseil a dû faire face récemment. Je possède des compétences cliniques et relationnelles qui continueront de contribuer à l'orientation stratégique et au rendement global du CAC. Enfin, j'ai une expérience unique en matière de défense des droits, de réglementation, de recherche et d'éducation pour la profession chiropratique.

J'adore le concept de « changer la conversation ». Cela s’applique à bien des égards. Les soins de santé au Canada ont été fortement influencés par le modèle allopathique qui place les médicaments et la chirurgie au premier plan des soins aux patients. Au moins pour les problèmes NMSK, les preuves soutiennent la SMT, la thérapie des tissus mous, l'exercice et l'éducation des patients, que les chiropraticiens sont les plus qualifiés pour fournir. Alors que nous changeons le discours et tentons de placer le patient au centre des soins et de défendre ce qu’il y a de mieux pour les Canadiens, les parties prenantes ne devraient avoir d’autre choix que de rendre les soins chiropratiques plus accessibles aux Canadiens.

Je trouve ironique que bon nombre des procédures effectuées par les DC qui ont été ridiculisées par la profession médicale et d'autres détracteurs lorsque j'ai commencé à exercer soient désormais recommandées dans de nombreuses directives de pratique clinique médicale. Le CCA doit changer le discours pour inclure la chiropratique alors que nous avons été ignorés dans le passé.

– l’ACC peut continuer de plaider en faveur de soins abordables et d’un accès à la chiropratique pour les Canadiens marginalisés et auparavant ignorés.

– il est également important d’éduquer et de permettre à ces groupes de poursuivre plus facilement une carrière en chiropratique s’ils le souhaitent

J'ai obtenu mon diplôme du Canadian Memorial Chiropractic College (CMCC) en 2017 et j'ai commencé ma carrière de chiropratique dans ma ville natale d'Halifax, en Nouvelle-Écosse. En 2019, je suis retourné en Ontario pour m'enraciner et me rapprocher de ma femme. J’exerce depuis aux côtés de médecins, chirurgiens orthopédistes et spécialistes de la douleur dans un cadre de médecine du sport. J'enseigne également au CMCC dans le département de diagnostic clinique depuis 2 ans. Je suis certifiée spécialiste de la mobilité en conditionnement fonctionnel et coach en nutrition de précision niveau 1 et je suis également formée en acupuncture neurofonctionnelle (McMaster). Pendant que j'exerçais à Halifax, j'étais superviseur d'étudiants de 4e année en kinésiologie qui aspiraient à devenir chiropraticiens. À l’heure actuelle, j’offre désormais des conseils aux étudiants en chiropratique grâce au mentorat. J'ai été invité comme conférencier invité pour défendre les chiropraticiens dans diverses institutions et sur plusieurs plateformes, dont « Télésanté : en pratique » du CAC.

Je possède une expérience significative en matière de prise de parole en public et j'ai participé à des webinaires du CCA en plus de représenter la chiropratique dans diverses institutions. Au fil des années d'enseignement au CMCC, j'ai laissé une impression durable à de nombreux étudiants, devenant ainsi un mentor pour beaucoup. En tant que représentant de la population plus jeune, je crois qu'il est crucial que notre voix soit entendue au sein de la communauté chiropratique. Je m'engage également à utiliser mon influence pour encourager ma cohorte à participer davantage aux activités et aux sondages des membres. Tout au long de mon séjour en Nouvelle-Écosse, j'ai participé activement aux assemblées générales. Au cours de ma première semaine de pratique, j'ai assisté à une réunion au cours de laquelle j'ai exprimé mon soutien à notre profession. Même si je me trouvais dans une salle remplie d’opinions opposées, je suis resté fidèle à mes efforts de plaidoyer. J'ai également travaillé dans deux provinces et j'ai pu constater par moi-même les défis auxquels notre profession est confrontée. Mon expérience de travail dans un environnement multimodal aux côtés de chirurgiens orthopédistes et de spécialistes de la douleur m'a doté des compétences nécessaires pour promouvoir des soins collaboratifs interprofessionnels fondés sur des données probantes. De plus, je suis pleinement réceptif à l’apprentissage continu en matière de gouvernance et je suis prêt à assumer le caractère raisonnable de la supervision des aspects fiduciaires de l’organisation.

Quelques points m’ont particulièrement marqué. Intégrer la chiropratique dans le système de santé et travailler en collaboration avec d’autres prestataires de soins de santé est extrêmement important pour moi. Tout au long de mon parcours professionnel, j'ai acquis une vaste expérience de travail aux côtés de médecins, de chirurgiens orthopédistes et de spécialistes de la douleur ainsi que de professionnels paramédicaux. Malheureusement, cela est considéré comme rare. J’aimerais que la profession évolue vers les soins collaboratifs et que cela soit un phénomène naturel. Je pense également qu'il est extrêmement important d'améliorer la compréhension du public sur la chiropratique et de faire progresser la profession en la rendant fondée sur des données probantes et centrée sur les personnes. Il semble y avoir un manque de compréhension des soins chiropratiques parmi le grand public, aggravé par des incohérences au sein de la profession elle-même. Ce manque de cohérence contribue à la confusion et, à mon avis, entrave la capacité de la profession à répondre efficacement à des préoccupations spécifiques en matière de santé publique.

Je soutiens la position et la stratégie du CAC en matière de diversité, d'équité et d'inclusion (DEI). Je crois qu'une association nationale a un rôle crucial dans l'établissement de normes et de lignes directrices que ses membres doivent suivre, afin de garantir que les principes DEI sont intégrés dans leurs politiques et pratiques. Je crois qu'il est également important d'offrir des programmes d'éducation et de formation aux membres par le biais d'ateliers/séminaires et d'offrir des ressources qui peuvent améliorer les connaissances et la sensibilisation liées à la diversité, à l'équité et à l'inclusion. Les associations nationales peuvent également faciliter la collaboration sur les initiatives DEI entre les membres qui s'identifient comme BIPOC ou LGBTQ2S+, afin de partager les meilleures pratiques et d'échanger des idées. Cet effort collectif renforce l’impact des initiatives DEI dans l’ensemble de notre profession. Je suis vraiment enthousiasmé par la perspective d’intégrer une plus grande diversité dans les rôles de leadership au sein de notre association. En tant que membre d’une minorité visible et membre du BIPOC, j’ai personnellement été victime de discrimination. Je m'engage fermement à défendre la diversité, l'équité et l'inclusion au sein de notre association et de la profession dans son ensemble. différents flux de diversité qui vont dans la même direction ; positivité et appartenance à la même association.